La cour criminelle d’Alger, en ce mois janvier 2015, le dénommé Khelifa âgé de 35 ans, père de deux enfants, pour viol d’une jeune fille Sabrina âgé de 16 ans.
Lorsque Sabrina se rend à la maison de l’accusé, elle lui annonce que sa femme est allée faire le marché. Elle tombe sur le mis en cause qui saute sur l’occasion et la viole. Sabrina retourne chez elle, elle enfie à sa mère qu’elle venait de subir une agression sexuelle par leur voisin Khelifa. La mère se dirige vers le commissariat accompagne de sa fille et dépose plainte. Interpellé, Khelifa nie tout en bloc.
Le jour du procès, le président de la cour, après avoir procédé aux formalités d’usage : identité, profession…, a prié le greffier de lire l’arrêt de renvoi.Au cours du procès, l’accusé présent dans le box des accusés, fait de grands efforts pour se donner un air innocent : « Ce n’est pas moi, je n’ai rien fait».
Le représentant du ministère public reprend les faits et requiert 7 ans de prison à l’encontre de Khelifa.
L’avocat de la défense demande que son client soit acquitté pour manque de preuves. Après délibération, la cour reconnaît l’accusé coupable et le condamne à une peine de 5 ans de prison ferme en vertu des articles 336/ 1 et 337 du code pénal.
