
Samir, c’est un jeune homme de 35 ans, chômeur, il consomme des boissons alcoolisées, et s’adonne à la drogue et repris de justice.
Il dresse un plan met à exécution quelques jours après. Le 18 octobre 2012, Samir escaladant le mur d’une villa est surpris de remarque une femme. La femme hurle de toutes ses forces, il lui assène 17 coups de couteau elle gît dans une mare de sang et décédée sur place, s’étant assuré de sa mort, il ouvre le coffre, rafle tous les bijoux et l’argent
Alertée par le voisinage, la police arrive sur les lieux et embarque l’accusé, Samir avoue être L’auteur du crime.
Lors de son procès, en ce mois de novembre 2014, il avoue son méfait, le justifiant par le fait qu’il était ivre et qu’il avait absorbé de la drogue et qu’il avait un grand besoin d’argent.
Le président ne manquera pas de rappeler le passé de l’accusé ; Samir avait un casier judiciaire bien chargé, rappeler à l’accusé la gravité de l’acte, l’accusé est un danger public.
Le procureur de la république, a dans son réquisitoire, requis la peine de 25 ans de prison ferme à l’encontre de l’accusé qui a, selon les faits relatés, commis un horrible crime en assassinant sauvagement la victime.
L’avocat de la défense souligna que le mis en cause n’avais pas nié sa responsabilité « je demande d’alléger cette peine, on devrait tenir compte également de sa situation. Il s’avère qu’il était effectivement ivre au moment des faits » n’était pas dans son état normal et se savait donc pas ce qu’i faisait.
La cour de retire afin de délibérer et revient avec son verdict : après consultation de l’enquête médicale opérée sur l’accusé, Samir est condamné à 20 ans de réclusion criminelle pour homicide volontaire avec préméditation, guet-apens et vol, en vertu des articles 30, 254 et 263 alinéa 3 du code pénal.