Le ministre des Moudjahidine et des Ayants-droit :« Nécessité de poursuivre l'écriture de l'histoire de la Révolution de libération au profit des jeunes générations»

Publié par Dknews le 13-03-2022, 19h49 | 9

Le ministre des Moudjahidine et des Ayants-droit, Laïd Rebiga a insisté, à Alger, sur la nécessité de poursuivre le travail de "documentation et d'écriture de l'histoire de la Révolution de libération", en vue de la transmettre aux générations montantes.

Dans une allocution lue en son nom par le directeur du Centre national d'études et de recherches sur le mouvement national et la Révolution du 1er novembre 1954 (CNERMN54), Djamel Eddine Miadi, lors d'une cérémonie commémorative des chouhada du mois de mars, sous le slogan "Mes frères n'oubliez pas les Chouhada", le ministre des Moudjahidine a appelé les enfants de l'Algérie à ériger les exploits héroïques des martyrs en "modèle probant qui renforce leur sentiment de fierté, un modèle à suivre pour relever les défis".

Les générations montantes doivent tirer les enseignements nécessaires des sacrifices des Chouhada "en vue de renforcer l'unité et la cohésion sociale" du pays, a-t-il estimé, soulignant l'importance de "la documentation et de l'écriture de notre glorieuse histoire en vue de la transmettre aux jeunes générations".

Le mois de mars "est une occasion pour commémorer les exploits des valeureux chouhada, héros de l'Algérie, et des dirigeants de la Glorieuse Révolution de libération nationale dont le sang a abreuvé sa terre bénie et qui ont écrit en lettres d'or son histoire, en étant les artisans de ses épopées héroïques riches en sacrifices", a-t-il soutenu.

Le ministre a également indiqué que ces souvenirs de gloire qu'on commémore à chaque occasion "restent immortels dans notre histoire héroïque", ajoutant à ce propos que "dans quelques jours, l'Algérie célébrera le 60e anniversaire de la Fête de la Victoire, correspondant au 19 mars", sous le slogan "détermination et victoire".

La Fête de la Victoire est "le fruit de l'effort sacré du peuple algérien contre les forces iniques d'oppression, en ce sens qu'il a obligé le colonisateur à s'asseoir autour de la table des négociations pour reconnaître le droit du peuple algérien à la liberté et recouvrer la pleine souveraineté de l'Algérie, après la signature des accords d'Evian".