La Confédération algérienne du patronat citoyen (CAPC) a salué, mardi dans un communiqué, le bilan du Médiateur de la République relatif à la levée des obstacles sur 679 projets d'investissements, «un message fort en direction de l'entreprise économique et aux chefs d'entreprises».
La CAPC «exprime son entière satisfaction» suite au bilan, présenté dimanche devant le Conseil des ministres, par le Médiateur de la République, Brahim Merad, dans le cadre de la mise en oeuvre de l'instruction du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, tendant à traiter les blocages des projets d'investissements sur le plan national et au cas par cas, selon le même texte.
La Confédération a rappelé que le travail réalisé par M. Merad, en collaboration avec les médiateurs de la République au niveau des wilayas, a permis, «en un temps record», de lever des obstacles ayant bloqué 679 projets d'investissement sur un total de 877 en leur délivrant des autorisations d'exploitation et d'entrée en productions, ajoutant que ces projets sont répartis sur 40 wilayas avec une pe rspective de création de 39.242 postes d'emploi.
L'organisation patronale a affirmé que «ces résultats expriment, sans aucun doute, la volonté du président de la République à mettre fin à toutes les contraintes administratives infondées qui bloquent des projets producteurs de richesses et d'emploi».
La Confédération algérienne du patronat citoyen «est convaincue que les résultats réalisés par le médiateur de la République est un message fort en direction de l'entreprise économique et aux chefs d'entreprises pour conjuguer tous les efforts des acteurs économiques afin de relever le défi de bâtir une économie forte et prospère en encourageant les entreprises productrices de richesses et d'emplois», souligne-t-on dans le communiqué. La CAPC, qui renouvelle «son entière soutien et adhésion au projet de la relance économique», a rappelé qu'«elle travaille en étroite collaboration avec le Médiateur de la République au niveau central mais également local, pour recenser et soumettre les dossiers de projets d'investissements bloqués».