A lire ce que rapporte la presse spécialisée, Facebook aurait «piqué la mouche» devant la demande formulée par certains gouvernements pour accéder par des portes dérobées (backdoors) à des données sur ses applications.
La demande serait venue des ministres britannique, australien et américain de l’intérieur qui auraient sollicité le réseau social en vue de regarder de plus près les données par des accès cachés.
En premier lieu, Messenger et Whatsapp ont décliné la demande en invoquant de raisons de sécurité.
Est venu ensuite un refus poli mais ferme du patron du groupe Mark Zuckerberg, qui a dit vouloir étendre le chiffrage à toutes les applications de son groupe.
Quant à la demande de ces services gouvernementaux, il n’est pas allé par quatre chemins : «La porte d'entrée que vous nous demandez pour la police profiterait aussi aux criminels, hackers et aux régimes répressifs, en créant un nouveau moyen de pénétrer dans nos systèmes et laisserait tous nos utilisateurs exposés à des risques dans le monde réel», a-t-il rétorqué selon le site www.zdnet.fr qui en fait part dans un article mis en ligne le 14 décembre.
